"Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils devraient être,
- Catherine Regnier
- 28 sept. 2020
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 30 sept. 2020
...,vous les aiderez à devenir ce qu'ils peuvent être.", Johann Wolfgang von Goethe
Je suis convaincue qu'il serait bénéfique à tous d'appliquer cette pensée, que ce soit dans la sphère professionnelle comme privée. A commencer par l'éducation...
Et aussi par soi : considère-t-on vraiment chacun de cette manière et avec équité ?
Même ceux qui nous semblent moins sympathiques ou avec qui nous ressentons moins d'affinité ?
Et, a contrario, envers ceux qui nous sont les plus chers : ne tombons nous pas parfois dans l'écueil de projections personnelles ? Et de fait, dans une forme de jugement ?
Les autres pensées du jour par là ...
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Photo du post Un tour dans le jardin
Bonjour par ici Grégory !
Cette ci a été traduite mais je comprends ton ressenti que j'ai aussi pour les mots toujours ou jamais..
Ayant déjà exposé mon interprétation de la citation je laisse d'autres personnes réagir !!!
Excellente journée
Je réagis à nouveau ici comme suite à cette citation reprise dans l'article "2/5 - Hypnose" dans lequel je ne voulais pas court-circuiter l'intérêt par mon sentiment suivant (qui à mon sens trouve donc plus sa place ici).
" Traitez un homme pour ce qu’il est et il restera ce qu’il est. Traitez un homme pour ce qu’il peut être et il deviendra ce qu’il peut et devrait être", Goethe.
Je trouve cette citation formidable et à la fois j'ai beaucoup de mal avec cette tournure à cause du mot "devrait". J'ai une base de données de mots clés qui quand ils sont employés (faudrait, devrait, bien, mal, gagner, perdre,...) déclenchent chez moi une alerte et m'invitent à une pause…
Bonjour Pierre
Je suis convaincue qu'il serait bénéfique à tous d'appliquer cette pensée, que ce soit dans la sphère professionnelle comme privée. A commencer par l'éducation...
Et aussi par soi : considère-t-on vraiment chacun de cette manière et avec équité ?
Même ceux qui nous semblent moins sympathiques ou avec qui nous ressentons moins d'affinité ?
Et, a contrario, envers ceux qui nous sont les plus chers : ne tombons nous pas parfois dans l'écueil de projections personnelles ? Et de fait, dans une forme de jugement ?
Je pense rédiger prochainement un article sur l'effet pygmalion tiens !
Belle journée
Beaucoup de managers devraient appliquer cette pensée...
Bonjour Grégory
Merci pour le partage de votre point de vue.
Pour ma part j'y mets le sens suivant : chacun de npus est une facette d Un grand tout à la recherche de son unité et donc egal à quiconque.
Ainsi en considérant les personnes pour ce qu'elles sont réellement, les fameux rayons de soleil de ma metaphore d'Olivier Lockert ou même selon la vision chamane exposée par Paul Degryse, un même potentiel dautoccomplissement on ne porte justement aucun jugement
....
Excellente journée